
Ben ça fait ptet pauvrette, mais je les ai embarqués.
Moi qui n'avait pas de quoi repasser certains vêtements, je vais pouvoir le faire maintenant.^^ Pareil, j'ai 2 places assises en plus quand il y'aura des invités (ce qui porte le total à 8, wahou

Modérateur : Médiateurs
Ca fait pas pauvrette, ca fait nana qui a du bon sens et qui ne gaspille pas ^^.Mélancolie a écrit :En descendant mes poubelles hier, j'ai trouvé dans le local 2 tabourets, un fer à repasser et un seau. Le tout en bon état et fonctionnel.![]()
Ben ça fait ptet pauvrette, mais je les ai embarqués.
Moi qui n'avait pas de quoi repasser certains vêtements, je vais pouvoir le faire maintenant.^^ Pareil, j'ai 2 places assises en plus quand il y'aura des invités (ce qui porte le total à 8, wahou).
Là, je me suis attendue au pire.Caramel2 a écrit :Tu imagines même pas combien de trucs de la Bicoque proviennent des poubelles ^^.
Merci, tu m'as juste fait hurler de rire lorsque j'ai lu ça à voix haute.Mais y a eu des chaises, un fauteuil (ultra confortable d'ailleurs, je maudis le chat qui l'a utilisé comme annexe de sa caisse, ce qui lui a valu la poubelle - au fauteuil, pas au chat hein)
Voici, par exemple, un petit problème de maths qu'on fait faire aux enfants dans les écoles nazies :
«Un malade mental coûte quotidiennement environ 4 Reichsmarks, un infirme 5, 50 RM, un criminel 3,5 RM, un apprenti 2 RM.
1) Faites un graphique avec ces chiffres.
2) D'après de prudentes estimations, il y aurait en Allemagne 300.000 malades mentaux, épileptiques, etc... qui reçoivent des soins permanents. Calculez combien coûtent annuellement ces 300.000 malades mentaux et épileptiques. Combien de prêts non remboursable aux jeunes ménages à 1.000 RM pourrait-on faire si cet argent pouvait être économisé ? »
Source : http://www.prostitutionetsociete.fr/act ... es-de-violCour d’Assises de Nice :Trois policiers accusés de viol aggravé… acquittés ! décembre 2011, par Claudine Legardinier
Trois policiers accusés de viol aggravé sur une jeune femme prostituée, en 2010, à Nice, ont été acquittés le 15 décembre 2011 devant la Cour d’Assises des Alpes Maritimes. Une nouvelle fois, le message est passé : violer une prostituée n’est pas violer. Une prostituée est une prostituée ; pas une femme.
Alors que le ministère public avait requis un minimum de dix ans de prison pour le chef de patrouille et de huit ans pour deux de ses collègues, la Cour d’assises a préféré s’en laver les mains. Un quatrième policier, mis en cause pour ne pas avoir empêché les faits, a également été acquitté. Ainsi, quatre policiers qui ont floué tous les principes attachés à leur fonction, se voient blanchis alors que leur victime quitte la salle d’audience en larmes. Une femme prostituée n’est décidément pas une femme pour les représentants de la loi niçois.
Les faits s’étaient déroulés en février 2010 près de la Promenade des Anglais, lieu de prostitution bien connu. Un équipage de police avait embarqué la jeune femme, alors âgée de 26 ans, et avait « obtenu » d’elle des actes sexuels en chaîne. Pour expliquer les faits, les policiers ont avancé l’argument que la jeune femme les avait « chauffés » et qu’ils n’avaient fait que s’abandonner à une « faiblesse humaine ».
Les débats ont bien entendu tourné autour de l’existence ou non de la contrainte. De fait, la jeune femme s’est exécutée. Seule dans un fourgon avec quatre hommes détenteurs de la loi, on se demande comment elle aurait pu faire autrement. Une fois encore, la présence ou non d’un pseudo consentement n’a ici aucun sens, puisque céder face à la menace ou au chantage n’est pas consentir.
Une fois encore, la question est prise par le mauvais bout, celui du « consentement » de la victime. Alors qu’elle ne devrait porter que sur la responsabilité du représentant de la loi : tout policier n’a-t-il pas, avant tout, et en toute circonstance, à obéir à une déontologie élémentaire ? Dans l’exercice de sa fonction, un acte sexuel avec une personne interpellée ne peut relever que du viol. Et que cette personne soit ou non une prostituée ne change rien à l’affaire. Il serait temps, pour le moins, de clarifier pareille évidence et que la loi soit appliquée comme elle le devrait.