Sevrage alcool
Modérateur : Médiateurs
- Mélancolie
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Sevrage alcool
Mon premier soir sans alcool.
- Meth en psychose
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Re: Sevrage alcool
gg
Aimer, ce n'est pas dire "Je te fais confiance, je sais que tu ne me feras jamais mal" mais "Je préfère avoir mal de ta part que de celle d'un(e) autre"
Demain est un cercueil, hier un vomissement d'entrailles.
Aujourd'hui, c'est soi.
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- Mélancolie
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Re: Sevrage alcool
Moui. Il était temps.
Et jusqu'ici ça se passe pas trop mal.
Et jusqu'ici ça se passe pas trop mal.
- Amande
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Re: Sevrage alcool
Cool ^^ je me permets simplement de te rappeler que la rechute fait partie de la guérison et que ce n'est pas parce que tu perds une bataille que tu perds la guerre Good Luck
J'étais une actrice muette, un corps. J'appartenais aux rêves, à ceux que l'on ne peut briser.
Re: Sevrage alcool
"Là, maintenant, vous vous trouvez ici, avec moi, mais vous êtes ailleurs en permanence. Votre esprit est en miettes. Pire qu'un miroir brisé."
Fractures, de Franck Thilliez
Fractures, de Franck Thilliez
- Mélancolie
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Re: Sevrage alcool
Je tiens.
Par contre je cherche à m'occuper le plus possible pour ne pas y penser. Du coup j'ai été à tous mes cours d'aujourd'hui (4h de neuro + 2h de développement + 2h d'anglais). Je m'investis aussi encore plus dans l'asso, et ce soir j'ai été à un ciné psycho.
Bref, je retrouve un peu de vie sociale.
J+1
Par contre je cherche à m'occuper le plus possible pour ne pas y penser. Du coup j'ai été à tous mes cours d'aujourd'hui (4h de neuro + 2h de développement + 2h d'anglais). Je m'investis aussi encore plus dans l'asso, et ce soir j'ai été à un ciné psycho.
Bref, je retrouve un peu de vie sociale.
J+1
- DizzyDance
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Re: Sevrage alcool
Joli. Continue. Tu verras à l'usage que tu auras une meilleure concentration et que ça va payer pour comprendre les cours, mais pas que.
Le combat, c'est aussi ça, poser des gestes au quotidien pour non seulement reculer l'échéance, mais, à travers ce genre de petites victoires, vivre.
Re: Sevrage alcool
Je suis contente de lire ça, Mel !
Je voulais faire de ma passion la plus belle de vos histoires - D.
- Mélancolie
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Re: Sevrage alcool
9° jour.
ça se passe relativement bien.
Mais c'est fou à quel point l'alcool est omniprésent dans la société. Quand on en est "privé" et que chaque jour on en entend parler à la fac, dans les séries, avec les potes, dans la presse, etc... on s'en rend vraiment compte. ça m'avait jamais vraiment frappé jusque là.
ça se passe relativement bien.
Mais c'est fou à quel point l'alcool est omniprésent dans la société. Quand on en est "privé" et que chaque jour on en entend parler à la fac, dans les séries, avec les potes, dans la presse, etc... on s'en rend vraiment compte. ça m'avait jamais vraiment frappé jusque là.
- Mélancolie
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Re: Sevrage alcool
28 jours.
Bilan :
Mon sommeil est de bien meilleure qualité. Je fais systématiquement des nuits sans devoir me lever pour aller pisser. Je suis moins dans le pâté au réveil. Et je n'ai plus de légers maux de tête quand je me lève.
J'économise à peu près 50 € par semaine (j'en étais rendue à une demie bouteille de vodka par soir quand même...). Donc si je calcule au mois ça me fait environ 200 € d'économie. Pas mal pour le compte en banque, non ?
Ce que je n'avais tout de même pas préciser auparavant dans ce topic, et pourtant c'est important, c'est pourquoi je tiens à le rectifier : c'est que mon plan était d'arrêter de boire quand je suis seule chez moi. J'entends déjà des gens hurler : "mais naaaan, quand on est accro à l'alcool c'est l'abstinence totale qu'il faut pratiquer, sinon tu vas replonger, toussa, toussa". Mais moi je sais que je n'arriverais pas à éliminer totalement l'alcool de ma vie. ça c'est un défi impossible pour moi. Et puis je ne le veux pas de toute façon. Ce que je souhaite, au contraire, c'est retrouver l'alcool festif et convivial. Ce que, honnêtement, j'avais totalement perdu puisque ça en était devenu un besoin, une habitude dont je n'arrivais plus à me défaire. Je n'arrivais plus à m'en passer, de ce petit moment à moi, chaque soir. Même si à force je n'étais plus tellement bourrée, je ne sentais plus trop les effets de l'alcool. J'aurais pu boire de l'eau, ça aurait presque été pareil au final.
Du coup, je considère que pour le moment mon plan réussit bien. Je me suis autorisée à boire un demi verre de sangria blanche et un verre de vin blanc au gala de psycho organisé par l'asso dans laquelle je suis. C'était le 5 mars, pour me sentir un peu dans l'ambiance quoi, sans abuser.
Et depuis je n'ai pas reconsommer. Sans difficulté particulière. C'est pour ça que je continue. Confiante.
Bilan :
Mon sommeil est de bien meilleure qualité. Je fais systématiquement des nuits sans devoir me lever pour aller pisser. Je suis moins dans le pâté au réveil. Et je n'ai plus de légers maux de tête quand je me lève.
J'économise à peu près 50 € par semaine (j'en étais rendue à une demie bouteille de vodka par soir quand même...). Donc si je calcule au mois ça me fait environ 200 € d'économie. Pas mal pour le compte en banque, non ?
Ce que je n'avais tout de même pas préciser auparavant dans ce topic, et pourtant c'est important, c'est pourquoi je tiens à le rectifier : c'est que mon plan était d'arrêter de boire quand je suis seule chez moi. J'entends déjà des gens hurler : "mais naaaan, quand on est accro à l'alcool c'est l'abstinence totale qu'il faut pratiquer, sinon tu vas replonger, toussa, toussa". Mais moi je sais que je n'arriverais pas à éliminer totalement l'alcool de ma vie. ça c'est un défi impossible pour moi. Et puis je ne le veux pas de toute façon. Ce que je souhaite, au contraire, c'est retrouver l'alcool festif et convivial. Ce que, honnêtement, j'avais totalement perdu puisque ça en était devenu un besoin, une habitude dont je n'arrivais plus à me défaire. Je n'arrivais plus à m'en passer, de ce petit moment à moi, chaque soir. Même si à force je n'étais plus tellement bourrée, je ne sentais plus trop les effets de l'alcool. J'aurais pu boire de l'eau, ça aurait presque été pareil au final.
Du coup, je considère que pour le moment mon plan réussit bien. Je me suis autorisée à boire un demi verre de sangria blanche et un verre de vin blanc au gala de psycho organisé par l'asso dans laquelle je suis. C'était le 5 mars, pour me sentir un peu dans l'ambiance quoi, sans abuser.
Et depuis je n'ai pas reconsommer. Sans difficulté particulière. C'est pour ça que je continue. Confiante.