Désespoir blanc
Posté : mar. 15 janv. 2013 16:19
Probablement gros coup de bad mais il n'y a pas de fumée sans feu...
Je me sens inutile, dépassé, sans avenir.
Inutile. Je fais ce que je peux. Je ne fais pas tout ce que je peux. Par lâcheté? Par incapacité? Par peur de souffrir et d'être confronté à des murs bien plus proches que ce que je ne crois?
Dépassé. Caduc. Doublon. Vestige. Vieux. Oui, c'est ça, vieux. Je ne veux pas être réac, ni sclérosé du bulbe.
Sans avenir. Cette peur de relever des défis qui me détruiront. Je suis dans une espèce de confort. Mais dans ce confort, il y a aussi des murs, un carcan.
Conscient d'être emprisonné.
J'ai peur. J'ai la gorge serrée, la tète qui se rappelle à elle, gagné d'un stress qui n'a pas de raisons valables.
Je ne me donnerai pas le droit de ne plus penser ni de ne plus y penser. Je ne fuirai pas.
Je suis peut-être sur le contre-coup d'un stress subi ce matin, quand j'ai fait mon ménage et trié les déchets selon le nouveau système. Ce stress était trop fort et j'ai failli vomir de la bile.
Non, je ne suis pas une bouteille thermos. Je ne suis pas l'ami public n°1. Je ne suis pas non plus au bout du désespoir. Mais fatigué, usé, et angoissé.
Rien de spectaculaire, de tragique, de wtf.
J'éprouve de la tristesse et de la souffrance. Et ce ne sont pas que des mots.
Je me sens inutile, dépassé, sans avenir.
Inutile. Je fais ce que je peux. Je ne fais pas tout ce que je peux. Par lâcheté? Par incapacité? Par peur de souffrir et d'être confronté à des murs bien plus proches que ce que je ne crois?
Dépassé. Caduc. Doublon. Vestige. Vieux. Oui, c'est ça, vieux. Je ne veux pas être réac, ni sclérosé du bulbe.
Sans avenir. Cette peur de relever des défis qui me détruiront. Je suis dans une espèce de confort. Mais dans ce confort, il y a aussi des murs, un carcan.
Conscient d'être emprisonné.
J'ai peur. J'ai la gorge serrée, la tète qui se rappelle à elle, gagné d'un stress qui n'a pas de raisons valables.
Je ne me donnerai pas le droit de ne plus penser ni de ne plus y penser. Je ne fuirai pas.
Je suis peut-être sur le contre-coup d'un stress subi ce matin, quand j'ai fait mon ménage et trié les déchets selon le nouveau système. Ce stress était trop fort et j'ai failli vomir de la bile.
Non, je ne suis pas une bouteille thermos. Je ne suis pas l'ami public n°1. Je ne suis pas non plus au bout du désespoir. Mais fatigué, usé, et angoissé.
Rien de spectaculaire, de tragique, de wtf.
J'éprouve de la tristesse et de la souffrance. Et ce ne sont pas que des mots.