Gérer son corps
Posté : dim. 19 août 2012 09:48
J'étais quelqu'un de très active au quotidien y a de ça quelques années. Du sport, encore du sport et toujours du sport. J'avais que ça à la bouche avant de me blesser et de mettre cette partie de ma vie entre parenthèse. Puis, ma maladie musculaire est arrivée, la béquille pour finalement rester couchée la plupart du temps et ne rien faire de mes journées.
Le changement d'environnement m'a beaucoup aidé à aller mieux. A me bouger mon cul et à pas rester passive. J'ai repris le dessus petit à petit en laissant cette béquille loin de moi. Je galérais beaucoup moins que ça soit physiquement ou psychologiquement.
J'ai recommencé à courir petit à petit, me suis mise au badminton puis au volley. (Y a d'autres changements mais c'est sur le point physique que j'ai envie de me pencher ici.) Les douleurs sont là, mais j'ai mal pour quelque chose, j'ai pas mal de rien faire, la douleur est bonne et saine.
Le problème c'est que je recommence à avoir beaucoup de stress à gérer en ce moment, le travail psychologique est assez épuisant aussi pour le moment et combiner à cette activité physique les douleurs sont plus fortes. Je retombe dans un engrenage de type : " Je fais quelque chose, j'ai mal, ça m'emmerde, je déprime, je fais rien, problème le fait de rien faire n'est pas bon, donc j'ai encore plus mal." Soucis c'est que je fais beaucoup trop en ce moment pour que mon corps se repose. Mais diminuer la cadence me fait encore plus mal physiquement.
Mon traitement a vachement diminué pour la fibromyalgie, je n'ai plus qu'occasionnellement un décontractant musculaire et un anti-douleur léger. J'ai pas envie de retomber dans l'engrenage des médics et des surdoses parce que je sais pas gérer ma douleur.
Je suis entre deux feux, je sais pas vraiment quoi faire. Le médecin qui me suit pour ça au centre de la douleur je le vois que fin septembre. La rentrée sera déjà là, j'angoisse de pas gérer les cours, les douleurs et ma vie au quotidien donc je me contracte et donc forcément j'accentue les douleurs. Cercle vicieux.
J'ai pas envie d'en parler à mon entourage, parce que pour eux, j'ai remonté la pente, que les 3/4 voyant qu'en changement d'environnement ça m'a aidé, c'est comme si j'avais plus rien et que les rechutes possibles ne seront que minimes et gérables.
Je me mets surement trop de pression mais ne pas gérer mon corps à nouveau me fait peur.
Le changement d'environnement m'a beaucoup aidé à aller mieux. A me bouger mon cul et à pas rester passive. J'ai repris le dessus petit à petit en laissant cette béquille loin de moi. Je galérais beaucoup moins que ça soit physiquement ou psychologiquement.
J'ai recommencé à courir petit à petit, me suis mise au badminton puis au volley. (Y a d'autres changements mais c'est sur le point physique que j'ai envie de me pencher ici.) Les douleurs sont là, mais j'ai mal pour quelque chose, j'ai pas mal de rien faire, la douleur est bonne et saine.
Le problème c'est que je recommence à avoir beaucoup de stress à gérer en ce moment, le travail psychologique est assez épuisant aussi pour le moment et combiner à cette activité physique les douleurs sont plus fortes. Je retombe dans un engrenage de type : " Je fais quelque chose, j'ai mal, ça m'emmerde, je déprime, je fais rien, problème le fait de rien faire n'est pas bon, donc j'ai encore plus mal." Soucis c'est que je fais beaucoup trop en ce moment pour que mon corps se repose. Mais diminuer la cadence me fait encore plus mal physiquement.
Mon traitement a vachement diminué pour la fibromyalgie, je n'ai plus qu'occasionnellement un décontractant musculaire et un anti-douleur léger. J'ai pas envie de retomber dans l'engrenage des médics et des surdoses parce que je sais pas gérer ma douleur.
Je suis entre deux feux, je sais pas vraiment quoi faire. Le médecin qui me suit pour ça au centre de la douleur je le vois que fin septembre. La rentrée sera déjà là, j'angoisse de pas gérer les cours, les douleurs et ma vie au quotidien donc je me contracte et donc forcément j'accentue les douleurs. Cercle vicieux.
J'ai pas envie d'en parler à mon entourage, parce que pour eux, j'ai remonté la pente, que les 3/4 voyant qu'en changement d'environnement ça m'a aidé, c'est comme si j'avais plus rien et que les rechutes possibles ne seront que minimes et gérables.
Je me mets surement trop de pression mais ne pas gérer mon corps à nouveau me fait peur.