Ps: prends les fleurs quand elles arrivent.... le pot suivra bien assez vite

Modérateur : Médiateurs
Oh oui, je te comprends (je suis passée par là aussi).Vert-Clair a écrit :C'est jamais la voie la faciliter se défaire d'une addiction quelle qu'elle soit. Moi je lutte pour ne plus me mutiler à chaque tuile, et je te promets que je me sens fier quand je me résiste.
C'est vrai. Les rituels sont vachement relié à l'acte associé (ici vomir). Et ce qui me rassure beaucoup c'est que ; comme tu dis ; il n'y avait pas la pensée habituelle qui allait avec. Au contraire, je ne voulais pas le faire. Mais je sentais que mon corps le réclamait, en avait besoin. Et c'est parce que l'angoisse était devenue tellement insupportable que j'ai décidé de reprendre le contrôle : seule façon pour moi de m'en sortir rapidement et sans trop de dommage. Sinon ça aurait duré, duré, duré... j'avais beau pleurer, hyperventiler, trembler et crier "non non, je veux pas, il faut pas" en me réfugiant dans le coin de la pièce, en fait il fallait que je le fasse. Et c'est en ça que Scholl a raison : j'ai culpabilisé. Parce que je ne voulais pas vomir, mais j'ai dû prendre la décision de le faire. C'était la seule solution pour arrêter cet enfer. Et, franchement, je crois que c'était la meilleure si l'on considère les options que j'avais à ce moment là.Meth en psychose a écrit :Le rituel c'est normal à mon sens; c'est implanté, et relié à l'acte, pas forcément, à mon sens, à la pensée qui va avec.
Oui, je continue mes efforts, très clairement. Je ne vais pas arrêter en si bon chemin, quand même. ^^Meth en psychose a écrit :et franchement, j'ai envie de dire: on s'en fiche que ce soit un trébuchement (?) ou pas. Dans le sens que... tu as l'intention de continuer. Alors bon; continue