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Re: Infos en tout genre

Posté : dim. 7 juil. 2013 08:28
par Meth en psychose
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/a ... mune.dhtml

Après 43 ans de vie commune, le passage de leur amour du délit à la légalité, deux femmes ont franchi l'étape du mariage.

Je sais pas vous, mais je trouve ce genre d'histoire superbe.

Re: Infos en tout genre

Posté : dim. 7 juil. 2013 12:47
par Mélancolie
C'est vrai que c'est beau...
J'ai souris.

Re: Infos en tout genre

Posté : lun. 8 juil. 2013 12:05
par Mélancolie
Egalement beau... mais dans un autre genre : http://www.20minutes.fr/societe/1170543 ... intervalle

Re: Infos en tout genre

Posté : lun. 8 juil. 2013 12:59
par DizzyDance
L'homme est une machine à interpréter et cherche désespérément du sens quand il n'y en a pas, spécialement à propos d'événements douloureux...

Re: Infos en tout genre

Posté : dim. 22 sept. 2013 11:03
par Mélancolie
Munich. Sur fond d’élections, la fête de la bière est ouverte !

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La fête de la bière s’est ouverte ce samedi à Munich, en Allemagne. Pendant deux semaines, six millions de personnes vont venir boire des chopes. Ils sont aussi appelés aux urnes, dimanche. Incompatible ?

« Demain, on ira tous voter, mais aujourd’hui ce qui compte c’est la bière ! » : une foule immense a pris part ce samedi à l’ouverture de la 180e Fête de la bière de Munich, laissant de côté la campagne électorale allemande.

Sur la Wiese, la gigantesque esplanade proche du centre de Munich où plus de six millions de visiteurs sont attendus jusqu’au 6 octobre, les affiches électorales n’ont pas droit de cité, et la campagne pour les législatives de dimanche n’occupe guère les conversations.

« Aujourd’hui, on oublie tout, c’est la fête ! » résume Gabriele Wahn, 65 ans, venue de Sarre (sud-ouest). « La politique, on n’en parle pas, elle ne reviendra que demain pour le scrutin », ajoute l’infirmière retraitée, portant une robe traditionnelle violette, qui confie aimer l’ambiance de la fête mais… ne pas boire de bière.

Dans l’immense tente du Schottenhamel, où plus de 6.000 fêtards triés sur le volet se sont attablés, la crise économique au cœur des débats politiques semble loin : les serveurs et les serveuses, en culottes de peau, ou dirndl, aux couleurs chatoyantes, charrient à travers les allées d’énormes planches de bois couvertes de victuailles : saucisses et boulettes de viande, bouquets de radis, tartines à la ciboulette.

« La crise ? Non, elle ne m’a pas touché », dit en souriant Thomas Peekl, étudiant venu de la riche région du Bade-Wurtemberg (sud-ouest). « L’économie allemande est solide », estime le jeune homme qui votera dimanche pour la CDU, le parti de la chancelière Angela Merkel.

À midi pile, conformément à la tradition, la célèbre « Oktoberfest » est déclarée officiellement ouverte dans un contexte d’œcuménisme politique.

C’est au maire social-démocrate de Munich, Christian Ude, que revient l’honneur d’ouvrir à coups de maillet le premier tonneau de bière de la fête, et de servir le premier Mass (chope d’un litre), sous les clameurs de la foule debout sur les bancs, et au son de la fanfare.

Dans la foule des fêtards, la tradition vestimentaire est de mise pour beaucoup, y compris chez les jeunes : culottes de peau pour les messieurs, robes et corsage blanc pour les dames. Ce qui n’empêche pas d’afficher quelques touches de modernité : les piercings sont compatibles avec les bermudas de cuir, et les jeunes filment la fanfare avec leur smartphone.

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Dès l’ouverture des festivités, la bière coule à flots et les visages rosissent. « C’est vrai, demain nous devons aller voter, c’est pour ça qu’on boit une bière de moins, mais seulement une », rigole Holger Arendt.

Maximilian Bissinger, un lycéen de 17 ans venu de la banlieue de Munich, se dit « choqué du nombre de gens qui se désintéressent de la politique ».

« Ici, les responsables politiques veulent se montrer, ils veulent paraître proches du peuple, mais les gens s’en fichent, ils sont là pour la bière », analyse l’adolescent, qui a enfilé un maillot de foot du Bayern, floqué du nom de Ribéry sur sa traditionnelle culotte de peau.

Lui-même avoue ignorer qu’Angela Merkel était vendredi soir dans le centre de Munich, devant 7 000 personnes acquises à sa cause. « Bonne fête de la Bière ! », avait lancé la chancelière.

Source : http://www.ouest-france.fr/actu/Magazin ... 0_actu.Htm

Re: Infos en tout genre

Posté : mar. 24 sept. 2013 09:24
par Mélancolie
Un requin féroce s’échoue sur la plage de Pénestin (56)

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Un requin féroce (Odontaspis ferox) s’est échoué ce samedi 21 septembre au matin, sur une plage de Pénestin, commune du Morbihan située en bordure de l’embouchure de la Vilaine.

Étonnante découverte que celle réalisée par un promeneur samedi sur une plage de Pénestin (Morbihan). Un requin féroce s’y est échoué. Cette espèce n’a de féroce que le nom. Nommée ainsi à cause de sa mâchoire impressionnante et de son corps massif, elle reste cependant inoffensive pour l’homme.

Alertée par les pompiers, l’APECS, association brestoise qui étudie les requins des eaux françaises, s’est rendue sur place en compagnie d’un autre spécialiste des poissons cartilagineux de la station de biologie marine de Concarneau.

L’identification de l’individu qui avait été pris en charge par les agents de la municipalité, a ainsi pu être confirmée. Il s’agit d’un mâle adulte de 3,24 m pour un poids de 220 kg. La dépouille, en très bon état, a pu être rapatriée à la Station biologique de Concarneau.

Chaque année, des requins sont observés ou capturés dans les eaux bretonnes, comme par exemple le requin-pèlerin, le requin peau bleue ou encore le requin hâ. Faire la rencontre d’un requin féroce est beaucoup plus inhabituel. En effet, cette espèce fréquente surtout les eaux tempérées chaudes et tropicales et a plus tendance à vivre dans les eaux profondes, entre 300 et 800 m. L’espèce n’a été signalée dans des eaux moins profondes que dans quelques secteurs, en particulier dans des archipels éloignés, tel que l’archipel de Malpelo dans le Pacifique (Colombie), ou plus près d’ici les Canaries ou les Açores, ainsi qu’en Méditerranée.

Le dernier signalement dans le Golfe de Gascogne date de janvier 1930. Un mâle de 1,40 m avait été capturé au chalut par 46°N et 4°W, à une profondeur d’environ 250 m. Ce signalement constituait jusqu’à l’année dernière l’observation la plus septentrionale de cette espèce. En effet, un autre requin féroce s’est échoué sur les côtes françaises en août 2012, sur une plage de la côte ouest du Cotentin, en Manche. Échoué vivant, le requin avait pu être remis à l’eau.

Voilà donc deux signalements, très proches dans le temps, qui intriguent les scientifiques de l’APECS et de la Station biologique de Concarneau.
Mesuré et pesé dimanche, le requin de Pénestin a été autopsié ce lundi matin. Aucun élément ne permet de connaître les causes exactes de cet échouage. Mais les scientifiques pensent qu’il pourrait s’agir d’un requin capturé accidentellement dans un engin de pêche et l’APECS lance donc un appel à témoins auprès des professionnels de la pêche, par mail, à asso@asso-apecs.org.

S’il ne faut pas tirer de conclusions trop hâtives de ces deux échouages inédits, d’autres témoignages pourraient faire émerger l’hypothèse de mouvements de populations vers le nord, possible conséquence du réchauffement climatique.
Source : http://www.ouest-france.fr/actu/actuLoc ... d_actu.Htm

Re: Infos en tout genre

Posté : dim. 13 oct. 2013 20:13
par Mélancolie

Re: Infos en tout genre

Posté : dim. 20 oct. 2013 20:41
par Mélancolie
Nature. Il tente de réconcilier l'homme et le loup

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Depuis dix ans, Jean-Marc Moriceau fouille l'histoire de l'homme et du loup. Une espèce protégée en France depuis 1979.Cet historien de l'université de Caen a réuni la semaine dernière les « pro » et les « anti », dans le parc du Mercantour, près de Nice. Avec l'objectif de trouver un terrain d'entente, alors que la colère contre l'animal se fait de plus en plus entendre, à mesure qu'il gagne du terrain.

« Si j'avais voulu être tranquille, j'aurais organisé ces premiers États généraux du loup en terrain neutre, en Normandie. » Non ! Jean-Marc Moriceau préfère rencontrer « la bête » sur son terrain, au milieu de ses supporters, de ses détracteurs et de ses observateurs : bergers, éleveurs, chasseurs, écologistes, scientifiques et élus... Au coeur du parc du Mercantour, là où les attaques de troupeaux sont les plus fréquentes, cet historien caennais faisait, la semaine dernière, le bilan de dix ans de travaux. « Sans langue de bois, ni rendez-vous secret. »


De secret, le loup n'en a aucun pour Jean-Marc Moriceau. Même si contrairement à la Bretagne, la Basse-Normandie n'a jamais été une terre à loup, ce spécialiste de l'histoire rurale a souvent croisé canis lupus. Quand il rédige sa thèse sur les fermiers d'Ile-de-France du XVe au XVIIIe siècles, le loup rôde. Quand il anime la revue Histoire des sociétés rurales, l'animal est encore là. Puis il se penche sur l'histoire des campagnes et de l'élevage. Encore le loup ! Un carnage ! « Veaux, chevaux, ânes. Il s'attaque aux animaux en plaine et met à mal toute l'économie. »

Quittant un temps les archives, Jean-Marc Moriceau se rend compte qu'entre 1992 et 2002, le loup est revenu par l'Italie. D'un ou deux départements, il en fréquente alors régulièrement sept ou huit. Chassant « les racontars et les études partiales », l'historien se lance dans un travail approfondi, du Moyen Âge à nos jours.


Un premier enseignement ne tarde pas à émerger : le loup a beau être craintif, il n'a pas toujours peur de l'homme. Avec des généalogistes et des archivistes, Jean-Marc Moriceau dresse un premier inventaire : 3 000 attaques recensées du Moyen Âge à 1914, « dont une majorité entre 1580 et 1880 ». Le profil des victimes ? Souvent de petits paysans, de 6 à 14 ans, qui gardent les troupeaux dans des campagnes isolées, aux abords des forêts.

L'historien des campagnes poursuit le recensement macabre pour arriver à 7 750 morts entre 1382 et 1918. Plus de 1 700 communes françaises sont concernées « dont 350 dans l'Ouest ». Jean-Marc Moriceau n'exclut pas d'arriver à 10 000 ou 15 000 victimes d'ici à quelques années. Les contes et légendes ne reposent donc pas que sur l'imaginaire de leurs auteurs.


À l'occasion d'une incursion en littérature, Jean-Marc Moriceau ne se demande plus pourquoi La Fontaine et Perrault ont beaucoup écrit sur le loup entre 1690 et 1700. « Pendant cette décennie, les victimes se comptent par centaines... »

Même si des loups enragés attaquent encore l'homme à la fin du XIXe siècle, la destruction massive de l'animal, « considéré comme ennemi du progrès », accompagne la mutation du pays et des campagnes. Les derniers loups français sont tués dans les années 1920-1930. Les soixante années qui suivent vont diluer les peurs ancestrales et, petit à petit, « faire du loup un symbole de la biodiversité ».

Les études de Jean-Marc Moriceau font le « buzz ». Il y a ceux qui découvrent, ceux qui nient. Sur Internet, les forums s'affolent. Décrié ici et là, l'historien caennais, au-dessus de la mêlée, est malgré tout écouté.

Parrainés par le ministère de l'Agriculture et par les chasseurs, mais pas par le ministère de l'Écologie, les États généraux ont regardé le loup dans le blanc des yeux. « Sans angélisme, ni diabolisation », souligne Jean-Marc Moriceau avec l'objectif modeste de « réduire le nombre d'extrémistes des deux côtés et aider au discernement ».


Trois cents loups fréquentent désormais une vingtaine de départements au sud d'une ligne allant du Gers à l'Aube, soit toute la partie sud et est de la France. Paris n'est plus qu'à 180 km... Alors que l'année 2012 a vu plus de 6 000 animaux-victimes indemnisés, le consensus s'impose. Car si on reste dans la demi-mesure et le conflit permanent, « le loup aura reconquis toute la France d'ici à une petite cinquantaine d'années. » Sa population croît de 19 % par an.

Faute de pouvoir s'inspirer de l'Italie et de l'Espagne, où la gestion du loup n'a rien d'exemplaire, Jean-Marc Moriceau espère qu'une solution française émergera : « On pourrait imaginer une régulation des loups variable selon les régions, leur densité et les activités agricoles. »

Stress, anxiété, habitudes de travail qui changent, investissements indispensables et même violence. Le 10 octobre, un berger a écopé de quatre mois de prison avec sursis pour violence envers un garde du parc du Mercantour. « Socialement, le loup commence à faire des ravages, s'alarme Jean-Marc Moriceau. Il faut faire vite. »
Source : http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet ... 8_actu.Htm

Re: Infos en tout genre

Posté : mar. 22 oct. 2013 22:30
par Mélancolie
Santé. L’alcool est plus dangereux pour les femmes Image

L’alcool a des effets plus néfastes pour les femmes que pour les hommes. Elles ont, par exemple, plus de mal à l’éliminer après une grande consommation.

L’alcool est-il plus néfaste pour la femme que pour l’homme ? Oui selon une étude parue dans le Figaro. La raison principale ? Ces dames « sont particulièrement vulnérables [...] elles ne possèdent pas le même équipement enzymatique que les hommes » explique le Professeur François Paille (CHU Vandoeuvre-lès-Nancy). La principale conséquence est qu’en cas « d’alcoolisation aiguë », les femmes ont plus de mal à éliminer l’alcool.

Consommation d’alcool en hausse chez les femmes

Les études démontrent également qu’après avoir pris plus de 4 verres, les filles ont plus de mal que les garçons à accomplir des tâches. Ce n’est pas tout. Les dommages et la dépendance à l’alcool arrivent plus rapidement chez la gente féminine que pour le sexe opposé. « Si la consommation d’alcool a globalement diminué depuis les années 1970, elle a, en revanche, augmenté chez les femmes et les hommes » détaille le Professeur François Paille.

« Zéro alcool pendant la grossesse »

L’alcool représente également un véritable danger pour les femmes enceintes. « Une consommation journalière de deux à cinq verres d’alcool pendant la grossesse peut entraîner un retard de croissance de l’enfant à naître, mais aussi une atteinte cérébrale, avertit Le Dr Philippe Batel (hôpital Beaujon). Le seul message acceptable, c’est zéro alcool pendant la grossesse et même si possible dès le désir de grossesse » prône t-il.

« L’enfant risque d’avoir des troubles d’alcoolisation »

Seul souci, beaucoup de femmes découvrent qu’elles sont enceintes que lors du 2e ou 3e mois. Aujourd’hui, selon un « Bulletin épidémiologique hebdomadaire », 23 % des femmes enceintes auraient eu une consommation d’alcool au cours de leur grossesse.

Les répercutions chez les futurs enfants ne sont pas à prendre à la légère. « Une exposition précoce à l’alcool in utero est un facteur prédictif d’addiction future à l’alcool. Un enfant exposé à l’alcool pendant la grossesse risque lui-même d’avoir plus tard des troubles d’alcoolisation » prévient le Pr Naassila.

http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet ... 1_actu.Htm
Ah ah !

Re: Infos en tout genre

Posté : mer. 23 oct. 2013 18:19
par Mélancolie
http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet ... 6_actu.Htm

La vidéo est assez choquante quand même...