Cela dit... impression que tu essayes de t'intégrer à un monde que tu ne comprends pas et qui ne te comprends pas. Je ne parle pas des études, hein, mais des fréquentations. Je repense à la personne qui t'avait dit qu'hors de question que tu viennes à son mariage si tu te déclarais pas en couple. ça m'avait choqué pour le coup parce que c'est tellement éloigné de qui tu es ce genre de considération. et... je sais pas, sensation que tu essaies de te sortir de ton cercle vicieux en essayant de t'intégrer totalement socialement, en créant une image de toi qui... n'est pas toi. Est-ce que c'est la solution que t'as trouvé pour pas abandonner tes études ? Je me le demande. Parce que je pense pas que tu sois malsaine pour ton taff. Je doute même pas un seul instant que tu le fasses bien, et le fait que tu t'accroches à ce point dans tes études montre que c'est pas de la blague ton intérêt (à moins que ce ne soit un moyen pour toi de te forcer à continuer dans cette voie, en ayant peur de t'être gourrée et de te l'avouer, mais j'y crois pas trop parce que je vois comment t'es quand t'en parles, malgré les merdes, j'ai quand même l'impression qu'il y a un vrai intérêt), et quand on est intéressée à ce point, et qu'on est toi, je vois vraiment aucune fichue raison de considérer que tu sois malsaine.
Je sais pas trop où je veux en venir dans cette réponse, en tout cas, ta pensée sur le fait de vraiment décompenser un jour, je la ramène à la même idée que celle sur le passé qui te manque, sensation surtout que t'aimerais bien avoir mal, mais sans que ça vienne de toi. Pouvoir avoir une justification à ton propre mal être. Parce qu'au final, si tu décompenses hardcore, bah, ça justifiera le mal être de maintenant quoi.
je pense pas que t'assagir va t'aider; 'fin, je te dis pas de repartir dans le boxon absolue d'avant mais pour moi, tes conduites à risques, c'était pas une cause de ton mal-être, mais une conséquence, et... bah si t'as pas de dérivatifs, t'en trouve un autre au final et t'en viens à rêver d'une merde pour justifier le fait de partir en vrille. Je dis pas que tu ne peux pas t'en sortir, juste que c'est pas en fermant les yeux et en essayant de ne plus gérer ton mal-être qu'il va se barrer. Non pas que la meilleure méthode soit de l'affronter (haha, la paille la poutre), mais plutôt que... faudrait trouver un autre dérivatif, un truc peut-être plus sain, ou en tout cas moins dangereux. Mais pas aucun dérivatif. Parce que là (et je peux e gourrer hein, je suis pas dieu), impression que tu cherches à rentrer dans une image trop social pour toi. 'fin je sais pas comment expliquer sans sembler insultant ou bourré de jugement/mépris, pas du tout le cas, au contraire; juste que je pense que ça pourrait t'aider de te reconnecter à toi-même, pas dans le sens repartir en couille, juste rha j'arrive pas à expliquer ><...
Aparté désolé mais:
Y a des gens qui ont cru ça ?où tout le monde pensait tellement de mal de moi qu'on avait fini par croire que je poussais les gamines perdues au suicide à coup de séances de spiritismes