J'ai la rage contre les cons
Modérateur : Médiateurs
Re: J'ai la rage contre les cons
Ah Dizzy, tu restera toujours Dizzy. Je ne sais jamais quoi répondre à tes posts, mais je suis Nana Chester et j'approuve tes messages.
- Meth en psychose
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Re: J'ai la rage contre les cons
Mec putain, ôter les rollers quand je monte dans le bus, ok, mais c'est quoi le problème que je descende avec mes rollers au pied ? Déjà que t'avais l'air pas piqué des vers niveau connerie à me balancer direct que c'était soit ça soit je rentrais à pied (merci la délicatesse, j'ai jamais refusé de les ôter abruti), mais putain, ça change quoi ? "Ouais, toi la prochaine fois tu rentres direct à pied" ? Mais... mais... Mais t'es con ou tu as été secoué enfant ?
'tin, j'aurais du poursuivre ton bus, et venir t'insulter à l'arrêt d'après crétin.
'tin, j'aurais du poursuivre ton bus, et venir t'insulter à l'arrêt d'après crétin.
Aimer, ce n'est pas dire "Je te fais confiance, je sais que tu ne me feras jamais mal" mais "Je préfère avoir mal de ta part que de celle d'un(e) autre"
Demain est un cercueil, hier un vomissement d'entrailles.
Aujourd'hui, c'est soi.
Demain est un cercueil, hier un vomissement d'entrailles.
Aujourd'hui, c'est soi.
- DizzyDance
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Re: J'ai la rage contre les cons
Tu as raté de pouvoir dire
"Si tu roules aussi vite que je t'emmerde, tu seras en avance sur l'horaire"
Audiard, again.
"Si tu roules aussi vite que je t'emmerde, tu seras en avance sur l'horaire"
Audiard, again.
Le combat, c'est aussi ça, poser des gestes au quotidien pour non seulement reculer l'échéance, mais, à travers ce genre de petites victoires, vivre.
- Meth en psychose
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Re: J'ai la rage contre les cons
'tin, j'avais besoin d'un truc pour me détendre l'esprit sur cet épisode de merde, merci dizzy, j'ai adoré me remémorer la scène.
Aimer, ce n'est pas dire "Je te fais confiance, je sais que tu ne me feras jamais mal" mais "Je préfère avoir mal de ta part que de celle d'un(e) autre"
Demain est un cercueil, hier un vomissement d'entrailles.
Aujourd'hui, c'est soi.
Demain est un cercueil, hier un vomissement d'entrailles.
Aujourd'hui, c'est soi.