4h10 du matin

Pour parler de tristesse, d'envies suicidaires, d'anxiété, etc.

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Brise-patte
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4h10 du matin

Message par Brise-patte »

Non, en fait il est 4H17 mais ça me faisait penser à un titre de chanson.


Des fois c'est chiant d'être une mauvaise fille.
Pauvre maman, je te hais, je t'aime, tu me renie, tu m'envie.
Enfoiré de "père", j'aimerais que tu meures, que tu me rende les années gâches de ma vie par ta faute.
J'aimerais ne plus te définir comme "mon père" pour te replacer par rapport à moi et la place que tu as du prendre dans ma vie quand je ne pouvais encore choisir un peu plus ma famille.
J'aimerais que tu meure. Pour moi, pour mon frère, pour toi. Pauvre homme que tu es, t'es tristes, t'es rongé par ta haine, ta folie.. Faudrait que tu meure, que tu puisses enfin être apaisé de ta vie qui t'as pourris l'coeur.

Une amie me parlait du sud de la France. Je n'aimais pas parler de cette région d'ordinaire. Ca me rappelle trop la chaleur étouffante, l'ambiance écrasante.
Je suis contente de pouvoir mettre autre chose que ces années merdiques de ma vie comme souvenir par rapport à cette région maintenant.

Des fois c'est nul de savoir qu'aucun parent ne sera vraiment là pour moi.


J'étais avec une personne que j'admire.
"c'est votre fille?"
"non juste une amie".

C'est con parce que j'aurais aimé que la réponse soit différente.

Pauvre chose en manque d'affection.


pensées de nuit.
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DizzyDance
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Re: 4h10 du matin

Message par DizzyDance »

crève-coeur a écrit :Des fois c'est nul de savoir qu'aucun parent ne sera vraiment là pour moi.
Je te rassure tout de suite: la situation peut s'arranger. Ce n'est pas comme si les deux avaient vraiment cané.

Et merde...
Le combat, c'est aussi ça, poser des gestes au quotidien pour non seulement reculer l'échéance, mais, à travers ce genre de petites victoires, vivre.
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Layla
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Re: 4h10 du matin

Message par Layla »

J'ai pas vraiment suivi ta situation familiale, donc je vais peut être mettre les pieds dans le plat mais pour ce qui est de ton père, il me semble qu'il y avait une histoire de procès que tu as gagné, et que tu ne vis pas avec. Pour le coup, plutôt que de te pourrir l'esprit avec, c'est pas juste possible de le jarter complètement de ta vie et de plus y penser ? Fin je veux dire, si vraiment vos relations n'ont absolument rien de positif et que ça n'est pas amené à changer, est-ce que tu as vraiment besoin de t'encombrer avec tout ce ressentiment et tout ?
J'ai l'impression que derrière cette haine apparente et cette envie qu'il meure, c'est surtout que tu souffres de pas avoir un père sur qui tu puisses compter et qui fasse partie de ta vie. Mais si tu restes dans ce regret, tu avanceras jamais sur le sujet.

Pour ce qui est de ta mère, je peux comprendre que ça soit plus compliqué, parce qu'il semble que vos relations soient plus ambiguës. Mais autant on choisi pas sa famille à la base, autant on peut s'en construire une. Les liens du sang sont pas spécialement plus forts que les liens qu'on tisse, dans la vie réelle. Tu parles d'une amie qu'on a pris pour ta mère, c'est un peu ça que je veux dire.
Tu n'as peut être pas de parents sur qui compter, mais tu as d'autres personnes qui peuvent en faire tout autant que tes parents. Et c'est pas parce que vos génomes sont pas à moitié pareil ou que t'es pas sortie de leurs vagins que tu peux moins compter sur eux.

Je pense que tu souffriras de ta situation familiale aussi longtemps que tu auras le souhait que ça se passe autrement justement parce que c'est ta famille. Sauf que concrètement ça n'arrivera sans doute jamais. Maintenant que tu es adulte ou en tout cas libérée des obligations légales, je pense que c'est vraiment dans ton intérêt de te détacher de cette famille dysfonctionnelle dans laquelle tu as grandis pour te consacrer à ton deuil et commencer à construire des choses plus solides.
"Les folies qu'un homme regrette le plus dans sa vie, sont celles qu'il n'a pas commises quand il en avait l'occasion.”

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Brise-patte
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Re: 4h10 du matin

Message par Brise-patte »

Alors, le truc, c'est qu'il continue de me faire chier.
J'ai encore reçus des sms de lui avant hier, j'en ai reçus la semaine dernière; je ne sais jamais s'il compte payer la pension en temps et en heure ou non, s'il voudra faire appel une deuxième fois (je ne sais pas si c'est possible d'ailleurs (cf procès))... j'en sais rien.
j'adorais pouvoir le jarter de ma vie comme je l'ai fais ces 10 dernières années de ma vie mais c'est lui qu'est pas trop pour.

Après, moi j'ai de la chance parce que je vie assez loin de lui, mais pour mon frère, il est déjà venu le suivre et le menacer en personne. Ouvrir une enquête avec un détective privé, pourrir sa réputation dans son école etc etc...
Pour ma part, il a réussi à avoir mon numéro et me piste, se fait passer pour un oncle, un cousin, mon frère... pour mon lycée pour avoir des infos sur moi (bien évidement, ça ne marche pas). Donc c'est quand même plutôt relou de recevoir alors que t'es pénard en vacances des lettres et sms de menaces, avoir toujours la trouille de répondre à un appel par peur de tomber sur lui.

Bien sûr que je souffre (enfin, dans un moindre mesure, ça fait longtemps que j'ai compris la situation, et travaillé dessus) d'être orpheline de père, d'avoir eu une enfance de merde à cause de lui et avoir été en manque d'une affection parentale encore maintenant (au vu de ma relation assez pourrie avec ma mère...). Après... je bougonne un coup, par ci, par là, de temps en temps.
C'est comme ça, c'est normale. J'avais aussi envie d'un espace pour ça. Ps besoin de me répondre. Des fois il y a juste des trucs qu'on ne peut pas effacer même avec le temps.

Je vie très bien avec tout ça au jour le jour, faut pas se leurer non plus.

En fait, je sais pas mal de chose que tu dis dans ton poste. Et je te remerci de ta réponse.
Ca fait longtemps que j'ai compris que les liens de sang c'est pas mal du bleuf. Pour ça que je disais:
"J'aimerais ne plus te définir comme "mon père" pour te replacer par rapport à moi et la place que tu as du prendre dans ma vie quand je ne pouvais encore choisir un peu plus ma famille. "

Je sais un peu tout ces trucs, je les applique, il n'y a pas de soucis.
Et on en reviens au même: j'ai des squelettes dans mon placards, moi aussi, qui des fois ne me laisse pas toujours tranquille. Même si j'ai appris à bien vivre avec.

Je fuis ma mère, le plus possible. Je vie chez mon copain, je la délaisse. J'ai compris quand j'ai été mise à la porte de chez moi une deuxième fois que c'était pas chez moi, juste une maison dans laquelle j'ai habité durant mon enfance.

Après, la situation reste pcompliqué, je pense que tu comprend pas mal toi aussi. La dépendance encore financière beaucoup, les papiers administratifs (oui alors ça c'est vraiment compliqué mais en gros, le procès avec mon père n'a pas aidé), mes petits frère et soeur qui habitent encore avec ma mère et qu'il serait bien qu'elle arrête de leur empoisonné la vie, mon grand frère...

Des fois j'espère, des fois j'espère plus. C'est pas grave, mais la situation fait qu'elle me mets encore en face de toute ces merdes et m'emp^che de m'en émenciper complètement.

Je pense que je vais faire un poste pour mettre les bases de ma situation familiale pour que tout le monde s'y retrouve où sinon ça risque en effet compliqué de me répondre si quelqu'un en a l'envie.


Conclusion:
Le deuil, c'est long.
Modifié en dernier par Brise-patte le lun. 11 avr. 2016 14:15, modifié 1 fois.
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Layla
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Re: 4h10 du matin

Message par Layla »

Bon, ma réponse devient un peu hors de propos sous cet éclairage, indeed.
J'pense qu'il y a certaines choses sur lesquelles on se rejoint effectivement dans nos vécu mais pour le coup j'ai du mal à assembler tous les éléments et à me faire une idée précise.
Courage en tout cas, et si le fait de pouvoir te décharger ici de temps à autres aide à faire passer la pilule certaines nuits... bah le forum est là pour ça.
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Brise-patte
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Re: 4h10 du matin

Message par Brise-patte »

Tien, j'ai tapé ça assez vite mais ça pourrait être pas mal pour recontextualiser ma situation familiale.

Je ferais peut être de même par rapport à ma situation scolaire/étude. C'est un peu le bordel aussi.
Alors, je vais essayer de faire court. Aussi court que ma clope golden virginia met de temps à se conssumer.

Mon prère battait ma mère, elle a alors réussi à divorcer en obtenant la garde de mon grand frère et moi même et se remet avec un autre homme qui sera mon beau père jusqu'à mes 18 ans. Je devais avoir 4 ans.

S'en suit jusqu'à mes dix ans, maltraitance, manipulation psychologique, la faim, l'incompréhension face à la haine de mon père et ma belle mère.

Vers mes 10 ans la situation empire, j'écris une lettre au juge et que je fini par planquer dans ma chambre, ma mère fini par la dicouvrir et lire ce qui se passait chez notre père, premier procès contre maltraitance ouvert.
Expertisse psy de merde, pricès foiré, je suis une menteuse, mon frère (très surement asperger) n'est guère mieux pris au sérieux. En attendant, mon beau père à du mal à nous accepter mon frère et moi même, on est pas ses gosses.
A l'invers, nait mon petit frère et ma petite soeur (enfin, demi frère et soeur). La différence de traitement entre eux et nous fait par mon beau père est assez dur. Ma mère ne dit rien.

Mon arrière grand mère meur, je m'en fout et ne vais pas à son enterrement. Cela faisait déjà un bout de temps que j'avais intégrer le fait que les liens de sang ne signifiaient rien.

Après le foirage du premier procès, mon beau père et moi même ne nous parlons plus. Du tout. M'adresser une ou deux fois par an, me retrouver à dire tu et recevoir une réponse directe devient un phénomène assez rare pour me foutre des angoisses monstrueuses.
S'installe le silence, des années de dénigration envers mon frère et moi même (mon frère étant aussi particulier, ça ne l'a pas aidé pour se faire accepter, y compis de ma famille).

Harcèllement scolaire au collège, je rencontre de ma soeur Clémence, on survit l'une et l'autre, et puis on s'aime.

seconde: harcellement, again. Début de ma dépression, accumulation etc etc

1ère: pas la peine d'entrer dans les détailles, suivit psy, infirmière, docteur, mon beau père m'a descendu comme quoi je faisais du cinéma, j'oublira pas le regard de ma mère qui se demandait encore pourquoi elle avait une fille pareille. ce demandant ce qu'elle avait pu faire, moi petite chieuse depuis l'enfance qui avait fait foiré le premier procès.
Bref, c'était tendu.
Julie est morte.

Terminal: Ma dépression s'en va progressivement, je commence à arrêter de faire de la merde sexuellement aussi. J'ai des TCA, avec ma mère les tabout reprennent, pour changer, on oublit pas les mots qu'on a pu dire. Clémence part au Québec avec sa famille.

1ère année d'étude: mon beau père s'en va, d'un coup, la séparation est très brutale, ma mère retombe en dépression, TS, HP, j'ai des souvenirs assez dure ce cette année. Avoir peur de la laisser seule à chaque fois que je rentrais de vacances, la stoper en pliene millieux de bectage abusif de médocs, calmer ses envies suicidaire, canaliser sa violence, sa dépression qui s'est reportée sur mes petits frère et soeur. On a tout tenté avec mon grand frère. Y compris le coussin de parole. Rien n'y a fait, je suis devenue la maman de rechange pour mes petits frères et soeur. Noel: ma mère en a mare que lui remette les yeux en face des orbites parce que je ne peux pas toujours cautonner ses comportements destructeurs envers mes petits frère et soeur, le 24 je suis devant la porte de mes grands parents avec ma valise et 39 de fièvre pour rajouter une couche de drama.
Les vacances suivante, ma mère me supplit de revenir car elle ne veut pas être seule.
Je suis remise à la porte au bout de trois jours, les petits en prennent pliens la gueule.

2ème année d'étude, année actuelle: mon petit frère n'est plus dupe, il ne cautionne plus le comportement de ma mère. Noel (pour changer): mon petit frère en a mare. Ma mère lui en fout pleins la gueule, je décide de reprendre position alors que j'avais décidée de ne plus prendre position dans les conflits. Mon petit frère et moi même somme sommé de dégagé de la barac, je refuse. Je prend les rennes de la famille et m'occupe pour de bon des petits. tente de redresser le dialogue avec ma mère, calme mon petit frère (il a 11 ans, pour préciser).

Depuis des vagues, mais un peu moins chiante. On en reste là. Mon beau s'est excusé pour les 13 années de dénigrations envers mon grand frère et moi même, je lui ai pardonné.
Faut dire que dans l'histoire, c'est dure d'admettre mais c'est ma mère qui merde. Mon beau père et les petits, même si je ne les aimes pas, n'avait pas à partir ainsi de sa merde.

Voila.
Sinon je vie plus ou moins avec mon copain depuis deux ans, ce qui m'a pas mal sauvé la mise face à ma famille.

En ce moment j'essaie de rester vivante.
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Re: 4h10 du matin

Message par Brise-patte »

Scolairement:
Je dessine énormément, je veux faire ça de ma vie. Que ce soit dans la BD, l'illustration, ou le tatouage.
Je suis en dernière année d'horlogerie à Rennes actuellement, à 800 bornes de chez moi, Besançon. Mon copain me manque là bas.
Ma classe est infecte, les cours sont nules, j'ai réussi péniblement à me faire une amie là bas. Deux tout au plus mais je ne sais pas si elle me concidaire comme son amie donc voila.
J'ai été en collocation, ça c'est très mal passé, la propriétaire à commencé à me harceler et me pourrir la vie durant le dernier mois, me forcant à redéménager, grosse galère. Je part en suisse un mois en stage. Je suis virée à cause d'une crise d'angoisse.
Je suis en dépression comme chaque année lors de la période novembre -> février, déjà sous AD.
J'ai fais une TS, HP, diagnos de bipolaire mais bon, j'y crois pas des masses donc voila. Des boites de Xanax, j'ai fait pas mal d'abus mais ces dernières semaines j'ai pu me reposé car en vacances, ça va beaucoup mieux.

J'ai rencontré un dessinateur, très très bon. Il m'a proposé d'être son élève pour l'année prochaine. J'hésite encore pas mal. Je voulais faire une année de prépa, gagner un peu de sous et me payer l'école de mes r^ves d'illustration car je n'en ai pas les moyens.

La actuellement, rien ne me pousserait à revenir finir mon année à Rennes. J'en ai rien à foutre, pour moi j'aimerais quiter dès maintenant et recommencer une vie posé, presque normal dans la prépa beaucoup plus près de chez moi en septembre. Avoir un suivit psy correcte aussi, parce qu'entre les stages et les vacances, je suis rarement plus d'un mois complet sur Rennes.

Vous en pensez quoi? Je continue mes études?
Moi j'en ai rien à battre de cette année. Ma mère voudrait que je la finisse, mon copain aussi. Je les comprend. Même s'ils savent aussi qu'ils n'ont aucune carte à jouer pour me persuader de continuer. Pour l'instant je continue. Peut être dans l'espoir que je tienne jusqu'à la fin, que je tombe sur une bonne raison de continuer.
Voila, petit résumée de ma situation actuelle. j'ai oublié quelques points mais c'est pas super important non plus.
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Layla
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Re: 4h10 du matin

Message par Layla »

Juste pour signaler que j'ai lu.

Pour tes études je sais pas si tu attends une réponse mais il y a quoi au bout de l'année ? Un diplome, ou juste une fin de licence ou whatever qui sert à rien pour trouver du boulot ?
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Brise-patte
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Re: 4h10 du matin

Message par Brise-patte »

Un bac pro. C'est un diplome en dessous même de mon Bac.
Ca peut aider à trouver du boulot. Si on concidaire que le milieux de l'horlogerie n'est pas totalement entrain de couler et que ça ne m'intéresse absolument pas.
Et que si jamais je venais à ne pas percer en dessin... je n'irais ne retournerais pas chercher en horlogerie, c'est mort. Faut énormément d'investissement personnel et non, j'en aurais certainement pas assez pour continuer.

Après, ça reste un diplome.
Sachant quand même que ce diplome n'est qu'en un an. J'ai obtenue le premier diplome ma première année déjà.
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Layla
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Re: 4h10 du matin

Message par Layla »

De toute manière c'est clair que c'est à toi de voir.
Si t'es sûre de jamais retourner vers l'horlogerie, que tu aies un diplôme ou pas au final ça change rien.
Après, vu que tu vas à priori pas commencer des études de dessin ou trouver un boulot là-dedans d'ici 2 mois, ça peut être bien de finir cette formation malgré tout. Car au delà du diplôme, sur ton CV ça montre surtout que tu es capable de finir ce que tu commences même quand tu t'en lasses ou que c'est pas ton truc.
Après si ça te demande trop d'efforts, de galères ou de "sacrifices", c'est aussi à mettre dans la balance.

Selon moi, c'est vraiment une histoire de pour et de contre, et il y a pas vraiment de bon ou de mauvais chemin à prendre. Pour avoir arrêté mes études à deux reprises en cours de route, je serais mal placée pour te dire de continuer à tout prix de toute façon :P
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