408 + 45
Posté : sam. 9 janv. 2016 23:49
Histoire de motiver les apprentis aspirants à l'abstinence éthylique (ou de quelque autre addiction d'ailleurs), je voulais apporter mon témoignage de "réussite", même si je reste vigilant.
408 jours sans boire d'alcool, après plus de 20 ans de consommation régulièrement abusive (journalière sauf rares exceptions).
J'ai eu la " chance" d'être hospitalisé 3 mois, la dépendance physique s'est donc atténuée sans aucune possibilité de tentation.
Une fois rentrée chez moi, j'ai eu la surprise de constater que l'alcool ne me faisait plus envie, pourtant j'en étant incroyablement friand auparavant (et de tout, bière, vodka, vin, whisky, TOUT).
Je ne suis pas un ayatollah, je ne scrute pas les sauces ou les pâtisseries pour y débusquer la présence d'alcool.
Je crois en fait qu'on surévalue fréquemment la difficulté du changement.
Comme le dit ... (J'ai oublié, Hervé Villard ?), on ne s'abstient pas de faire les choses parce qu'elles sont compliquées, mais elles sont compliquées parce qu'on s'abstient de les faire (non sic...).
Et 45 jours d'arrêt du tabac, à l'aide de patchs et d'une application gratuite sur phone qui calcule, entre autres, automatiquement l'argent économisé, cumulé chaque jour.
Les sommes deviennent vite énormes pour un gros fumeur comme moi
En revanche, si quelqu'un a de solides conseils pour minimiser la dépendance affective, je suis tout ouï.
Là, je suis fortement englué dans une relation n'allant nulle part, en tout cas pas où je souhaite.
Et de l'autre côté, ce n'est pas une clope ou une bouteille, mais un autre être humain, ce qui est nettement plus délicat à contrôler et manipuler (pourtant j'ai essayé )
408 jours sans boire d'alcool, après plus de 20 ans de consommation régulièrement abusive (journalière sauf rares exceptions).
J'ai eu la " chance" d'être hospitalisé 3 mois, la dépendance physique s'est donc atténuée sans aucune possibilité de tentation.
Une fois rentrée chez moi, j'ai eu la surprise de constater que l'alcool ne me faisait plus envie, pourtant j'en étant incroyablement friand auparavant (et de tout, bière, vodka, vin, whisky, TOUT).
Je ne suis pas un ayatollah, je ne scrute pas les sauces ou les pâtisseries pour y débusquer la présence d'alcool.
Je crois en fait qu'on surévalue fréquemment la difficulté du changement.
Comme le dit ... (J'ai oublié, Hervé Villard ?), on ne s'abstient pas de faire les choses parce qu'elles sont compliquées, mais elles sont compliquées parce qu'on s'abstient de les faire (non sic...).
Et 45 jours d'arrêt du tabac, à l'aide de patchs et d'une application gratuite sur phone qui calcule, entre autres, automatiquement l'argent économisé, cumulé chaque jour.
Les sommes deviennent vite énormes pour un gros fumeur comme moi
En revanche, si quelqu'un a de solides conseils pour minimiser la dépendance affective, je suis tout ouï.
Là, je suis fortement englué dans une relation n'allant nulle part, en tout cas pas où je souhaite.
Et de l'autre côté, ce n'est pas une clope ou une bouteille, mais un autre être humain, ce qui est nettement plus délicat à contrôler et manipuler (pourtant j'ai essayé )