Met-on trop de pression sur les femmes [hors-sujet]?
Posté : dim. 27 juil. 2014 08:30
Et si, au contraire, on met trop de pression sur les hommes ? Où s'arrête la revendication légitime des femmes, et où commence un désir d'inverser un rapport de domination que les hommes ont eu?
Que l'on n'interprète pas mal ce que je viens d'écrire. Je suis totalement pour l'égalité homme /femme ou l'égalité femme/homme. Je porterais volontiers un bracelet LGBT. L'égalité entre les sexes. Mais rien d'autre et j'ai l'impression que la plupart des mouvements féministes se font actuellement, sous couvert d'égalité, sous le sceau de la colère, de la révolte et du renversement.
On peut être phallocrate. Ça existe malheureusement beaucoup et trop souvent. Mais je vois l'émergence d'un autre qualificatif, celui de vaginocrate.
Et dans le texte soumis ici, il n'est pas question une fois du métier de père, qui lui aussi est exigeant, fatigant, est composé de frustrations et de renoncements, de dilemmes difficiles entre le besoin d'acquérir un revenu supérieur pour rééquilibrer une économie familiale chamboulée par l'apparition d'une charmante tête blonde, brune ou rousse et d'assurer une présence nécessaire au foyer. Il n'a pas été question du rôle du père de cette femme et on ne saura jamais si c'était un bon père.
Car oui, si la mère porte l'enfant, elle n'est pas la seule à partager les joies et les poids de la maternité jusqu'aux périodes du nid familial vide. Et il y a aussi des hommes qui aiment leur femmes et qui, contrairement à elles, ne veulent pas d'enfants, ce qui constitue un motif fréquent de rupture.
Mais ça, bizarrement, on n'en parlera jamais dans les journaux. Ce n'est pas à la mode, ce n'est pas vendeur. Et si on publie ce genre de témoignage qui sont épidermiquement perçus comme intéressants, c'est par pure discrimination parce que ça attirera la sympathie du lectorat féminin dont les éditorialistes se foutent comme d'une guigne dans la majorité des autres pages à part la page people.
Ce texte hybride se situant entre un coup de gueule personnel, une revendication associative et un souvenir attendrissant n'est pas objectif et ne doit surtout pas l'être car il obéit aux critères de publication des mass medias. De la subjectivité à fleur de peau, du flashback par camions, de l'émotion par paquets de mouchoirs.
On s'est servi de cette femme pour augmenter le nombre de clics sur une page.
Et donc ce texte, qui aurait pu être écrit il y a quarante ans, en obéissant totalement aux clichés actuels, dessert la cause de la femme.
Il serait enfin temps d'en faire un vrai débat au nom de cette égalité que certaines femmes veulent mais n'appliqueront que pour leurs intérêts.
Que l'on n'interprète pas mal ce que je viens d'écrire. Je suis totalement pour l'égalité homme /femme ou l'égalité femme/homme. Je porterais volontiers un bracelet LGBT. L'égalité entre les sexes. Mais rien d'autre et j'ai l'impression que la plupart des mouvements féministes se font actuellement, sous couvert d'égalité, sous le sceau de la colère, de la révolte et du renversement.
On peut être phallocrate. Ça existe malheureusement beaucoup et trop souvent. Mais je vois l'émergence d'un autre qualificatif, celui de vaginocrate.
Et dans le texte soumis ici, il n'est pas question une fois du métier de père, qui lui aussi est exigeant, fatigant, est composé de frustrations et de renoncements, de dilemmes difficiles entre le besoin d'acquérir un revenu supérieur pour rééquilibrer une économie familiale chamboulée par l'apparition d'une charmante tête blonde, brune ou rousse et d'assurer une présence nécessaire au foyer. Il n'a pas été question du rôle du père de cette femme et on ne saura jamais si c'était un bon père.
Car oui, si la mère porte l'enfant, elle n'est pas la seule à partager les joies et les poids de la maternité jusqu'aux périodes du nid familial vide. Et il y a aussi des hommes qui aiment leur femmes et qui, contrairement à elles, ne veulent pas d'enfants, ce qui constitue un motif fréquent de rupture.
Mais ça, bizarrement, on n'en parlera jamais dans les journaux. Ce n'est pas à la mode, ce n'est pas vendeur. Et si on publie ce genre de témoignage qui sont épidermiquement perçus comme intéressants, c'est par pure discrimination parce que ça attirera la sympathie du lectorat féminin dont les éditorialistes se foutent comme d'une guigne dans la majorité des autres pages à part la page people.
Ce texte hybride se situant entre un coup de gueule personnel, une revendication associative et un souvenir attendrissant n'est pas objectif et ne doit surtout pas l'être car il obéit aux critères de publication des mass medias. De la subjectivité à fleur de peau, du flashback par camions, de l'émotion par paquets de mouchoirs.
On s'est servi de cette femme pour augmenter le nombre de clics sur une page.
Et donc ce texte, qui aurait pu être écrit il y a quarante ans, en obéissant totalement aux clichés actuels, dessert la cause de la femme.
Il serait enfin temps d'en faire un vrai débat au nom de cette égalité que certaines femmes veulent mais n'appliqueront que pour leurs intérêts.