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Re: Infos en tout genre

Posté : jeu. 20 févr. 2014 16:53
par Mélancolie

Re: Infos en tout genre

Posté : jeu. 20 févr. 2014 17:30
par Meth en psychose
"Nan, j'ai pas faim."
"Et moi j'ai la flemme"
"Reviens demain"

Re: Infos en tout genre

Posté : dim. 2 mars 2014 10:00
par Mélancolie

Re: Infos en tout genre

Posté : lun. 3 mars 2014 01:08
par Pingoo
Ah ah! Ça à l'air rigolo ^^

Re: Infos en tout genre

Posté : mar. 18 mars 2014 11:56
par Mélancolie

Re: Le petit lien de la journée

Posté : sam. 12 avr. 2014 21:53
par Mélancolie
http://www.ouest-france.fr/incendie-de- ... on-2150691

Je ne sais pas pourquoi... ça me remue.

Sûrement parce que les violeurs prennent moins de 10 ans de prison en moyenne (et je suis gentille, j'ai pas trouvé de source claire encore).
Et là...

J'en sais rien... ça me touche, c'est tout.

Re: Infos en tout genre

Posté : mer. 14 mai 2014 20:09
par Mélancolie
Cour d'assises. Six ans de prison pour viols

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Un homme de 31 ans a été condamné ce soir par la cour d'assises d'Ille-et-Vilaine, pour avoir violé une jeune femme en 2011 à Cesson-Sévigné.

Au terme de deux jours d'audience, un homme de 31 ans a été condamné à six années de prison ferme, ce soir à Rennes, par la cour d'assises d'Ille-et-Vilaine. Il a été reconnu coupable d'avoir violé une jeune Rennaise de 21 ans, en juin 2011 dans un hôtel de Cesson-Sévigné. Jusqu'au bout de l'audience, l'accusé a nié les viols, affirmant que lui et la jeune femme avaient eu des relations sexuelles librement consenties.

La victime, elle, a maintenu ses accusations. Les experts l'ont jugée parfaitement crédible, et la cour d'assises a suivi. En fin de matinée, l'avocat général avait requis dix années de prison. La cour a opté pour six ans, avec un suivi socio-judiciaire à la sortie de prison. L'accusé a déjà effectué deux ans de détention provisoire.

Source : Ouest-France.fr
C'est le procès auquel j'ai assisté hier et aujourd'hui.
Le type était un vrai connard. Il n'avait rien pour lui, tous les éléments et témoins étaient à charge, et il continuait quand même à mentir et inventer des détails incohérents.
Et il n'a pris que 6 ans... après ce qu'il fait subir à la victime ! Moi et une étudiante en droit avec qui j'ai sympathisé étions dégoûtées.

Précisions absentes de l'article : il a commis 3 viols avec séquestration durant toute une nuit. Circonstance aggravante : il a profité de son état d'ivresse. Il a également une injonction de soins et 15 000 € de dommage et intérêt à payer à la partie civile + 3000 € de frais de justice.

Re: Infos en tout genre

Posté : jeu. 21 août 2014 18:19
par Mélancolie
OF a écrit :La proportion de travailleurs nocturnes a doublé en 20 ans Une étude du ministère de l'Emploi met en avant le fait qu'en vingt ans, la proportion de salariés travaillant habituellement de nuit a plus que doublé (de 3,5% à 7,4 %).

Plus d'un salarié sur sept travaillait la nuit (15,4%) en 2012, habituellement ou occasionnellement, soit un total de 3,5 millions de personnes.

En l'espace d'une vingtaine d'années, le nombre de salariés travaillant la nuit est passé de 2,4 millions de personnes en 1991 à 3,5 millions en 2012, soit un million de salariés en plus.
La proportion de salariés travaillant habituellement de nuit (entre minuit et 05h du matin, selon l'étude) a plus que doublé en vingt ans (3,5% en 1991, 7,4% en 2012). En revanche, le travail de nuit occasionnel est devenu un peu moins fréquent (9,5% des salariés en 1991, 8% en 2012), selon l'étude.

En 2012, 21,5% des hommes travaillent la nuit, contre 9,3% des femmes. Toutefois, le nombre de femmes travaillant la nuit a doublé en vingt ans (500 000 en 1991, un million en 2012), alors que le nombre d'hommes concernés n'augmente que de 25% (1,9 million en 1991, 2,4 millions en 2012).
L'armée, la police et les pompiers (72%), des corps à forte présence masculine, comptent le plus grand nombre de travailleurs de nuit, avec les conducteurs de véhicule (42%). En revanche, au troisième et quatrième rangs, se trouvent des familles professionnelles, où 90% des emplois sont occupés par des femmes (infirmières, aides-soignantes).

De manière générale, les conditions de travail sont plus difficiles pour les salariés qui travaillent la nuit, selon une enquête 2013 du ministère. Ils exercent souvent plusieurs tâches et sont davantage soumis à de fortes contraintes de rythme de travail.
Ces salariés ont plus souvent le sentiment qu'une erreur de leur part pourrait avoir de graves conséquences et sont plus souvent confrontés à des personnes en détresse, à des tensions ou même à des agressions, selon la Dares.
Leur travail comporte davantage de facteurs de pénibilité physique et de contraintes de vigilance. Ils déclarent plus souvent risquer être blessé ou accidenté, précise l'enquête.

Ce surcroît de difficultés se traduit par un sentiment plus fréquent d'usure professionnelle des travailleurs de nuit, nombreux à penser qu'il ne "tiendront" pas jusqu'à leur retraite (43 % d'entre eux contre 27 % pour l'ensemble des salariés).
Toutefois, les travailleurs de nuit semblent pouvoir davantage compter sur le collectif de travail et être mieux formés aux risques.

Source : Ouest-France
Le Figaro a écrit :Le travail de nuit a doublé en vingt ans Désormais, plus de 15 % des salariés travaillent la nuit, habituellement ou occasionnellement. Un rythme qui concerne de plus en plus les femmes.

De plus en plus de Français sont au turbin la nuit. C'est ce que révèle une étude du ministère du travail publiée ce jeudi. 7,4 % des salariés déclaraient travailler habituellement la nuit en 2012, c'est-à-dire entre minuit et cinq heures du matin. Soit deux fois plus qu'en 1991. Le travail de nuit occasionnel a, certes, reculé (9,5 % des salariés en 1991 ; 8 % en 2012) mais dans des proportions bien moindres. Au total donc, plus de 15 % des salariés français étaient concernés par le travail de nuit en 2012, de façon habituelle ou occasionnelle. Soit un peu plus d'un Français sur sept!
Le travail de nuit est plus répandu dans la fonction publique que dans le privé. De fait, dans certaines missions -santé, sécurité-, le service ne peut être interrompu. Ainsi, 72 % des militaires, des policiers et des pompiers travaillent la nuit, comme plus de 40 % des infirmiers, sages-femmes et médecins (qu'ils soient, dans ce cas, dans le public ou le privé). Le travail de nuit est également fréquent chez les conducteurs de véhicule, dans le gardiennage privé, chez les ouvriers et techniciens des industries de process. Des métiers qui sont soit très masculins, soit très féminins.

Au global toutefois, le travailleur de nuit est d'abord un homme (dans 70 % des cas) si bien que 21,5 % des salariés étaient en 2012 en poste la nuit, contre 9,3 % des salariées. Cela étant, la féminisation du travail du travail de nuit a été forte ces dernières années, en partie à cause de la législation (en 2001, les femmes ont été autorisées à travailler la nuit dans l'industrie) et en partie à cause des évolutions sociologiques. Résultat, 30 % des travailleurs de nuit étaient en 2012 des femmes, contre 20 % en 1991. Les femmes intérimaires travaillent même presque aussi souvent la nuit que leurs homologues masculins.
Le travail de nuit diminue avec l'âge: ainsi 23 % des salariés trentenaires travaillaient en 2012 de minuit à cinq heures du matin, contre 16 % des plus de soixante ans. Le phénomène est identique chez les femmes. Ce résultat n'a rien d'étonnant, le travail de nuit étant usant pour la santé. D'autant qu'il se conjugue souvent avec des rythmes atypiques (travail le soir, le samedi, le dimanche). Les travailleurs de nuit ont toutefois une compensation: ils sont payés davantage. En 2012, un travailleur de nuit habituel gagnait 8,1 % de plus qu'un salarié travaillant le jour, un travailleur de nuit occasionnel, 3,6 %. Travailler décalé pour gagner plus, en quelque sorte…

Source : Le Figaro

Re: Infos en tout genre

Posté : mar. 26 août 2014 20:37
par Mélancolie

Re: Infos en tout genre

Posté : mar. 26 août 2014 21:00
par Amande
Le e-condom

Pendant ce temps-là de l'autre côté de la planète on crève de faim