Vos rêves (et cauchemars)

Soit pour un flood constructif (comment ça n'existe pas?)

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Meth en psychose
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Vos rêves (et cauchemars)

Message par Meth en psychose »

Cette nuit:
J'ai rêvé que j'étais de retour dans mon collège où se trouvait ma promo d'histoire. J'y venais pour passer un examen de lettres, alors qu'il y avait un meurtrier dans le bâtiment; Les filles avaient interdiction de robes & de jupes, et personne ne devait être seul dans les couloirs. Je voyais sur le sol, en haut d'un escalier que les "olou", allaient tous être tués. Peu après, grande débandade, je descend un long escalier, mais celui-ci s'arrête dans un trou, et ceux qui y tombent, ressortent pendus dans une salle.
Je me suis réveillé... légèrement whaté...
Aimer, ce n'est pas dire "Je te fais confiance, je sais que tu ne me feras jamais mal" mais "Je préfère avoir mal de ta part que de celle d'un(e) autre"

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Lilith
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Re: Vos rêves (et cauchemars)

Message par Lilith »

C'est une chouette idée de partager ça (je ne pourrais pas dire le contraire, je me remémore avec delectation chacun de mes rêves et ne pourrais imaginer mon quotidien sans eux)

''Sympatique'' celui ci en tout cas... ça devait être éprouvant ! Une idée de ce que sont les "olou" ?
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Meth en psychose
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Re: Vos rêves (et cauchemars)

Message par Meth en psychose »

strictement aucune.
J'avoue que je pourrais ressortir de sacrés rêves.
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Anyway
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Re: Vos rêves (et cauchemars)

Message par Anyway »

J'ai fait un rêve assez étrange la nuit de lundi à mardi.
Comme je n'en fais pas souvent dont je me souvienne, et que je me suis réveillée sonnée de celui-ci, je tente de me le rappeler.

J'étais descendue dans une grotte, par une sorte de puits: un trou, et une longue descente jusqu'à un espace s'ouvrant d'un coup.
J'étais accompagnée de mon frangin, de quelques années plus jeune que moi. Dans cette grotte, assez fraîche et de roche calcaire plutôt claire, il y avait un chat.
Un chat noir, la peau sur les os. Extrêmement maigre, donc, la peau tirée et le poil terne et à moitié bouffé. Et surtout, l'air méchant. Le genre de putain d'animal avide de sang.
D'ailleurs, dans un recoin de la grotte, et vu par moi bien avant ledit chat, il y avait un présentoir - ou une broche - sur lequel était, soit posée, soit empalée, une carcasse. Un squelette rongé d'un chat. Certainement le dernier repas de l'autre.
Et je m'amusait à en compter les vertèbres.
C'est-à-dire que la chose était en tout cas extrêmement importante à mes yeux. Il fallait que je compte(asse) et re-compte(asse) ces vertèbres.
Là, je ne sais comment ni pourquoi, la grotte n'est soudainement plus sous terre, mais tout à fait ouverte sur l'extérieur par un de ses côté. Dehors, l'herbe est verte. Ça a l'air d'être l'été ou le printemps. Ça ressemble, maintenant, je crois, aux pâturages de vaches dans les Alpes, du côté de la Savoie.
Bon, et le chat - je veux parler du vivant- , pendant que je compte avec la plus grande attention les os du second avec mon index, s'accroche à moi, tente avec un hargne hideuse de me déchirer la chair.
Il est vicieux, me plante plusieurs fois les crocs dans l'avant bras. Et moi, complètement coincée dans mon orgueil, j'essaie de le caresser. Je veux caresser la tête de ce chat, et je réessaye incessamment.
Et incessamment, je me fais bouffer les doigts et les flancs par le matou squelettique qui m'agresse. Il veut me déchiqueter les membres, et moi je voudrais qu'il m'aime bien.
Haha, j'aurais presque une idée de miroir avec ma vie réelle. Hum. Ceci était un immense blob en puissance.
Donc, mon frère, qui en a certainement un peu sa claque de ma détermination - ou stupidité? - sort de la grotte par son ouverture naturelle et absente un instant auparavant et commence à s'éloigner.
A chaque fois que le chat me bouffe et ne veut plus se décrocher (j'agite mon bras dans tous les sens), je demande à mon frère comment faire pour m'en tirer. Et chaque fois il me répond la même chose: il faut lui maintenir fermement la tête de l'autre main, et serrer. Fort. En d'autres mots, tenter de lui broyer le crâne. Là, il fini par lâcher prise.
Puis le jeu recommence, et je rappelle mon frangin, qui s'éloigne de plus en plus. Et toujours, je re-comprime le front de la bestiole. En fait, cette tentative répétée de faire lâcher prise au chat était aussi probablement une tentative de faire lâcher prise au rêve. En effet, la dernière pression forte m'a finalement permis de me réveiller. Soulagée. Et légèrement paniquée.
D'ailleurs, mon chat (le vrai) miaulait à ma porte.

wait... what?
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Mélancolie
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Re: Vos rêves (et cauchemars)

Message par Mélancolie »

Un cauchemar affreux-affreux.

J'étais prisonnière d'une secte dirigée par Escobar Gallardo (le trafiquant de drogue mutli-tatoué dans Nip/Tuck). Il m'avais volé mon ordinateur et l'avais caché dans la déchetterie qui lui servait de culte. Il me terrorisais et utilisais tous les gens qui étaient à sa botte pour me faire tourner en bourrique. Quand je lui redemandais mon ordinateur en crisant d'angoisse, il éclatait d'un rire franc à me faire virer dingue. J'ai essayer de m'enfuir plusieurs fois après qu'une personne m'a aidé à retrouvé mon ordi. Ben ça a raté, je me suis fait prendre.

J'en ai encore des frissons.
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Meth en psychose
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Re: Vos rêves (et cauchemars)

Message par Meth en psychose »

J'ai rêvé que j'avais fait chier un vampire, et donc que toute sa clique me cherchait. Pendant ce temps là, des vélociraptors font une charge du village dans lequel je me trouve. On arrête de bouger, derrière une vitre, en espérant que l'un d'entre eux ne nous voit pas. Un peu plus tard, je me trouve à l'endroit où la clique de vampire prépare une lourde attaque. Il y a willow (de buffy) en mode vampire, qui essaye de me faire passer pour Anglais, je parle un peu, et surtout, cherche à cacher mon visage.

Je ne me souviens pas de grand chose, mais l'association est juste magnifique.
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Mélancolie
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Re: Vos rêves (et cauchemars)

Message par Mélancolie »

Métempsychose a écrit :J'ai rêvé que j'avais fait chier un vampire, et donc que toute sa clique me cherchait. Pendant ce temps là, des vélociraptors font une charge du village dans lequel je me trouve. On arrête de bouger, derrière une vitre, en espérant que l'un d'entre eux ne nous voit pas.
Dément le rêve ! :weed:
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Re: Vos rêves (et cauchemars)

Message par Anyway »

Je me suis créé une nouvelle phobie. (avec connotations sexuelles évidemment)
J'ai rêvé de poissons, et de leurs bouches gluantes, avaleuses/suceuses et visqueuses.
La fin du rêve se passait entre un poisson rouge (mais blanc) et moi. Pour je ne sais quelle raison - peut-être pour changer l'eau d'un bassin, vu que ce week-end j'étais dans une maison avec un bassin englouti par les algues et qu'on venait de me dire qu'ils allaient bientôt renouveler la pauvre flotte - j'avais déposé la petite chose visqueuse sur un porte-savon.
Et elle se déshydratait. Lorsque je revenais la voir, elle happait désespérément l'air et ses yeux globuleux ressortaient autant qu'il est possible. On aurait dit qu'ils allaient s'éjecter de son corps. La peau était déjà à moitié desséchée.
Dans mon extrême bonté teinté de dégout (ou l'inverse), je l'arrosais alors d'eau, incessamment. Et au fur et à mesure que je remplissais le récipient d'eau, ses bords s'élevaient jusqu'à transformer le porte-savon en un verre. Hum. J'avais dû trop servir de bière la veille-nuit-matinée précédente...
Ce verre, pourtant non-percé par le dessous, faisait passoire et déversait son eau. Le poisson, inévitablement, se retrouvait à l'air. Et je remplissais toujours ce putain de verre. (Je fais pas mal de trucs débiles répétitifs voire carrément obsessionnels dans mes rêves en ce moment. -_-) Je lui ai mis le doigt près de la bouche, il l'a agrippé avidement pour le gober/sucer.

Le poisson a fini par perdre ses yeux, ses lèvres, et par sécher complètement.
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Re: Vos rêves (et cauchemars)

Message par Anyway »

J'ai rêvé que j'assistais à la projection d'un documentaire sur les crabes. Dans un nouveau format incluant les sensations physiques pour le spectateur.
Moi qui ai pas mal en horreur les bestioles à 8 pattes, j'ai été étonnée de me souvenir qu'on s'extasiait et étions complètement attendris devant certaines images comme celle-ci: un crabe tout jeune (d'environ 5cm) marchait dans un trou pas bien plus grand que lui, le faisant descendre d'exactement sa taille. Il avait donc le haut de la coque au niveau du sol. Une petite araignée passe par là, et c'était décidément follement mignon de découvrir que l'araignée arrivait exactement à l'épaule du crabe! Bien sûr, on ne tarissait pas d'éloges et de petits cris hideux ("ooooh, c'est vraiment chouuu!") Ahem.
J'ai presque honte de mes propres rêves.
La suite. Une fois l'image si mignonne passée, c'est à un tourteau énorme, d'une quarantaine de centimètres de large, de faire son apparition dans le champ de la caméra. Étude du système nerveux et de la douleur chez le crabe.
Tout d'abord, le crabe saisi de sa pince la même araignée que précédemment afin de la boulotter gentiment. Puis, comme il arrive souvent dans les rêves, rupture étrange: c'est le tourteau lui-même qui se retrouve la victime (de je ne sais quel prédateur) comme si on avait soudain changé d'échelle sans que l'action ne semble s'être interrompue. Dans l'esprit des spectateurs - et le mien - il s'agissait d'une seule scène, sans transition ni surprise.
Le tourteau géant se fait donc ouvrir la pince droite et dépiauter littéralement la chair.
Nous ressentons, non pas une douleur, mais une gêne: comme un attouchement dérangeant. L'idée qui me vient à ce moment est qu'il s'agit de la même sensation que si on ouvrait les entrailles de quelqu'un d'anesthésié et qu'on passait sa main entre ses boyaux pour les changer un peu de place.

Je me suis réveillée avec un malaise étrange, ne sachant pas si j'étais dans un film de fiction, un documentaire, un rêve, la réalité, ni si la sensation du drap sur ma peau était la sensation du crabe, de la mienne, ou d'un quelconque autre appareil technologique novateur.
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Meth en psychose
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Re: Vos rêves (et cauchemars)

Message par Meth en psychose »

J'ai rêvé que j'étais dans mon ancien lycée, j'essayais d'y rejouer au babyfoot avec quelques personnes que j'y ai connu à l'époque. C'était la récréation, il y avait du monde. Peu de temps avant, je m'étais engueulé avec une professeure en uniforme de police au sujet d'un exposé à la con que j'aurais mal fait, alors que ce n'était pas à moi de le faire, à la base. Suite à ça je m'étais planté devant elle (elle était un peu plus petite que moi), et l'avais regardé sans bouger, alors qu'elle me lorgnait avec un visage de bulldog. (nan, sérieusement, la même mimique qu'un bulldog).
Rien de bien particulier au final.
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